Ambiance Far West pour le "chien de moisson 2018".......
22- Chien de moisson 2018 - Diaporama
Photos en vrac pour un diaporama lors du chien de moisson 2018... Photos anciennes... Photos récentes.... Photos de vous.... Photos de nous....
Diaporama diffusé pendant le repas.... Quelques photos en plus !....
Cette année, c'est au tour des Chazeau et le Val Jobert d'organiser le chien des
moissons...
On fête la fin des récoltes !
Cette année, pas de tables et chaises à déplacer !
Pas de hangar à balayer !
Direction Barberey Saint-Sulpice où José et Franck CASIMIR nous
accueillent dans un endroit très dépaysant !... ;o)
"Dépaysant pour des Paysans"... c'est parfait
L'an passé, Claude nous avait cuisiné un cochon de lait...
Cette année ce sera un jambon grillé avec la bonne sauce qui va avec !
Merci à Sandrine qui a préparé les grignottages*apéro et le punch !
Oubli... une photo du buffet des desserts ?!!!.... ça valait le coup d'oeil !
Le classeur*photos de l'an passé imaginé par Isabelle et ses jeunes, complété
par mes soins en 2018 va bientôt retrouver Claudie & Francis qui relèvent le défi
en organisant le chien de moisson 2019 !
Merkiiiii !
Pour terminer... Trouvé sur un blog :
Qu’il s’agisse de fin de moisson ou de vendange, la repas traditionnel s’appelais jadis « tue-chien », ou « faire le chien », ou « faire la cagne »
Cette tradition remonte aux origines mêmes de la civilisation, la fête des récoltes. De tout temps on célébra cette époque heureuse par des festins et des chansons... D'où vient ce nom de « chien » ?
Deux hypothèses ont été retenues :
- La première explique que chez les anciens, l'étoile Canicula (de canis :le chien), était célèbre. Elle présidait aux jours caniculaires, du 24 juillet au 26 août, époque de la moisson et, ce travail terminé, on disait avoir « tué le chien », vaincu la canicule.
Elle pourrait évoquer des temps encore plus éloignés où pour s’attirer la clémence du ciel sur les troupeaux et les récoltes on sacrifiait jadis un chien à Vulcain, dieu des feux.
- Une seconde hypothèse, affirme que dans la fête des moissons, comme dans celle des vendanges, on célébrait la fin d'un labeur pénible auquel étaient assujettis les paysans, véritables « chiens » de la société avant la Révolution, labeur qu'ils avaient eux-mêmes qualifié de « tue-chien ».